mercredi 31 juillet 2019

La dictature verte

Cette fois-ci, je n'emploie volontairement pas les guillemets pour parler de ce sujet qui revient sans cesse comme un mauvais refrain que l'on ne voudrait plus entendre...

Dans un ancien article où je me posais des questions existentielles sur notre petite place dans ce grand univers, j'évoquais déjà la question et force est de constater qu'elle revient sans cesse dans les discussions qui portent sur la "soutenabilité" de notre modèle économique actuel, j'ai nommé le capitalisme et la société de consommation.

Aujourd'hui, sur un de mes groupes Facebook favoris, la discussion est repartie sur le sujet, après qu'un des membres ait posté cet article d'une enseignante-chercheuse-bobo comme il en existe des tas.
Pour faire bref, cette dernière y souligne la finitude de nos ressources (plus particulièrement alimentaires), mais qualifie pourtant de "fantasme" une éventuelle "dictature verte" qui imposerait le rationnement de ces dernières...
Comme si les gens allaient accepter cela sans rien dire, "comme une évidence" ou "parce que c'est nécessaire"...
(Pour mémoire, la crise des gilets jaunes a débuté à cause de l'augmentation du prix de l'essence (pourtant voulue, en gros, par "souci environnemental", afin de diminuer les ventes de véhicules thermiques, trop polluants)).
Alors qu'en sera t-il si on devait aller faire nos courses avec des tickets de rationnement comme pendant la dernière guerre mondiale !!!

Mais reprenons au début.
Nous (les êtres humains) vivons et nous reproduisons à un rythme exponentiel dans un espace clos (la terre) disposant de ressources limitées (eau potable, terres arables, pétrole, lithium, bref, tout.)


Il n'est alors pas besoin d'être devin ou polytechnicien pour prédire ce qui risque forcément d'arriver à terme : la diminution puis le manque de ressource PAR INDIVIDU, ces derniers devenant trop nombreux PAR RAPPORT aux ressources disponibles.
Qui aurait l'idée d'inviter une douzaine d'amis pour un repas avec une seule tranche de jambon dans le réfrigérateur ?
C'est pourtant ce que nous faisons, inéluctablement, par exemple en espérant que notre planète nous permettra d'extraire indéfiniment autant de lithium qu'il faudra pour construire toutes les batteries de tous les véhicules électriques de tous les habitants de cette planète...(si si, je vous jure, certains en sont même persuadés !...)
Pourtant, cet article évoque des expériences "in vivo" réalisées sur des rats, qui sont aussi, rappelons-le, utilisés pour tester nos futurs médicaments et les prochaines interfaces cerveau-machine, justement parce que nous leurs ressemblons beaucoup. 
Comme cela était prévisible, elles finissent mal pour les rats...
Le "développement durable", oxymore qui mérite, lui, les guillemets, et l'"économie circulaire", espèrent que nous pourrons y arriver en économisant et en recyclant nos ressources. C'est un bel espoir, mais j'en doute.
Car tous les voyants sont au rouge, de la fonte des glaciers à la pollution des mers, en passant par la destruction systématique de toutes les autres espèces animales, qui se réduisent à vue d’œil comme peau de chagrin...

La situation empire inéluctablement car nous sommes devenus "accrocs" à la consommation, victimes de cette "fièvre acheteuse" qui nous fait changer de portable alors que ce dernier fonctionne pourtant très bien ou qui nous pousse à prendre l'avion pour aller passer nos vacances sur une île lointaine alors que nous ne connaissons même pas notre propre quartier...
L'immense majorité des gens n'acceptera donc pas de son plein gré une éventuelle "décroissance", et encore moins un "rationnement".
L'option "raisonnable" étant écartée, ce sera donc au choix des guerres permanentes style "Mad Max" pour qui voudra encore profiter au maximum du peu qu'il restera à profiter, ou bien une "dictature verte", imposée de façon militaire par un gouvernement (mondial ?) plus où moins bienveillant...

Maintenant j'espère que cela n'arrivera pas. Ce n'est pas interdit puisque des millions de gens sur la planète croient même qu'ils vivront encore une fois morts...
Mais le bon sens nous oblige malheureusement à admettre que cette "dictature verte" semblerait bien être à terme la seule solution pour continuer à vivre DE notre planète dans une paix relative...
A bientôt 50 ans, je ne pense personnellement pas avoir à la subir, mais je n'ai malheureusement pas de doute quant au fait que mes enfants devront la supporter, sous une forme ou une autre...
La plus pacifique sera la meilleure...

mardi 30 juillet 2019

Pour un Pouvoir Partagé

Oui, je sais, c'est encore une allitération en p...Peut-être que je les apprécie inconsciemment parce que mon (vrai) prénom commence et finit par cette lettre...va savoir !

La question du pouvoir est centrale depuis la nuit des temps, autant chez les hommes que chez les loups (le rapprochement des deux espèces n'est ici pas involontaire...).
Le pouvoir "fonctionne" car il répond à plusieurs besoins :
- Le premier, insatiable, qui anime tous ceux qui ressentent une immense satisfaction à "diriger", voire à "dominer" les autres, au point de combattre pour le gagner et le conserver.
- Le second, d'ordre plus pratique, qui permet d'utiliser l'instinct grégaire de tous ceux qui sont prêts à se laisser dominer par leurs "alphas" pour les diriger simplement et rapidement, avec une seule personne.
 

Car il faut bien reconnaître qu'intuitivement, il semble plus efficace pour se rendre d'un point à un autre de faire suivre un chef unique par ses "subordonnés" plutôt que de laisser chacun décider de sa propre direction.

Pourtant, si les images choisies montrent un indéniable parallélisme entre les hiérarchies humaines et animales, ces dernières sont souvent beaucoup plus évoluées :
Dans le cas des oiseaux migrateurs, de simples canards sauvages, le rôle de leader (terme employé d'ailleurs en aviation) n'est pas permanent : les oiseaux occupent chacun leur tour cette position car elle dépense davantage d'énergie (ce qui est la même chose pour les responsables humains). Cette technique permet donc d'utiliser les compétences de tous au service du groupe, ce qui n'est pas le cas quand le chef se maintient en haut de l'organigramme "contre vents et marées" (la remarque est bien évidemment valable en politique aussi).

Autre exemple du règne animal : les "nuées" :


Dans ce genre de formation, il n'y a plus aucun "leader".
Pratiquées aussi bien dans l'air, sur terre et sous l'eau, cette technique de déplacement, qui semble a priori être aléatoire, permet 1/ de protéger le groupe des prédateurs 2/ d'adapter le mouvement en continu et de façon fluide, ce qui n'est là encore bien évidemment pas le cas d'un organigramme hiérarchique...
On pourra bien évidemment me répondre que le mouvement d'un banc de poisson n'a rien de comparable, "rien à voir" avec le choix d'un gouvernement de s'orienter par exemple vers un plus grand respect de l'environnement. Et pourtant...

En acceptant de confier les décisions relatives à l'avenir de plusieurs millions de personnes à quelques centaines de "représentants" (nos parlementaires), eux-mêmes guidés par un chef unique (notre président), nous nous privons de la grande majorité des compétences et de l'intelligence du groupe (le peuple).
Même s'ils daignent parfois nous faire l'honneur de nous recevoir dans leur permanence, ce petit nombre d'élus, grisés par le pouvoir et les avantages que ce dernier leur procure (voitures avec chauffeur, logements et bureaux somptueux, repas gastronomiques, salaires mirobolants, retraites hors-norme...), prennent souvent des décisions qui les avantagent, eux, leur famille, leurs amis et les lobbies qui les invitent au restaurant davantage qu'elles rendent service au peuple. C'est "humain".

De plus, il n'existe pas de solutions qui conviennent à tout le monde. Ainsi par exemple la suppression de l'impôt sur la fortune satisfait bien une partie de la population, mais en mécontente une autre, plus nombreuse.
Si on pratique une simple "démocratie du nombre", la décision est mauvaise, car elle ne profite qu'à une minorité, tout en envoyant la majorité manifester dans les rues.
Mais si l'on tient compte du fait que cet allègement d'impôts va (peut-être) inciter les plus riches à continuer à investir et à embaucher dans notre pays, le calcul peut finalement s'avérer gagnant...Mais ce n'était qu'un exemple.

Le problème est que l'intelligence du plus grand nombre n'est pas employée.
Pourtant, il existe aujourd'hui grâce à Internet de nombreux outils qui permettent d'exploiter cette "intelligence collective" et qui pourraient être utilisés à l'échelle d'un pays entier (si ce n'est plus).
Le Grand Débat du gouvernement et le Vrai Débat des gilets jaunes en sont des exemples.

Exiger la mise en place généralisée de ce genre d'outils pour utiliser les compétences d'un maximum de citoyens, et pas seulement d'un minuscule échantillon d'entre eux, tout élus qu'ils soient, n'est donc pas forcément synonyme d'"anarchie".
Elle est encore moins synonyme de "désordre", mot auquel on l'associe pourtant presque immanquablement dès que l'on demande que le pouvoir soit rendu au peuple.
Le désordre n'a d'ailleurs absolument rien à voir avec le concept de l'anarchie, qui demande simplement à ce que le pouvoir ne soit plus détenu par un "gouvernement" constitué à partir d'élites (l'oligarchie), et ce n'est pas Juan Branco et son best-seller qui me contredira....
En bref, comme le dit Normand Baillargeon, l'anarchie c'est l'ordre moins le pouvoir.

Si ce pouvoir d'une minorité, organisation sociale d'un autre temps, pouvait, grâce aux outils modernes, se transformer en l'intelligence de tous, cela permettrait à notre société d'évoluer vers un futur commun et durable avec la beauté et l'aisance d'un banc de poissons se déplaçant vers leur proies tout en évitant leurs prédateurs.
Nous aurions tous gagné.

Alors, ce pouvoir partagé, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?

dimanche 28 juillet 2019

Athéisme concentré

Après avoir lu la superbe phrase "Religion begins where science ends" (la religion commence là où la science s'arrête), j'ai eu envie de préciser encore les choses.

J'ai donc réfléchi pour créer cette citation, un petit peu longue mais qui propose de concentrer en quelques verbes la raison d'être des religions. Elles n'y sont bien sûr pas toutes mais j'ai essayé d'y mettre l'essentiel :


Vous retrouverez dans ce blog de nombreux autres articles aussi "anticléricaux" les uns que les autres au sens général du terme et convenant parfaitement à ma maxime favorite : "Ni dieu ni maître"...

mercredi 10 juillet 2019

Les 10 commandements du mauvais conducteur

1 - Le feu orange tu grilleras
Et le rouge à partir de 22h...

2 - Au volant tu téléphoneras
Si possible en fumant aussi en même temps.

3 - N’importe où tu stationneras
Devant un portail, en sens inverse de la route ou en double-file, l'important étant de marcher un minimum à pied, que ce soit pour déposer ses enfants à l'école ou toute autre raison non-valable...

4 - N’importe quand tu t’arrêteras
Surtout pour aller acheter des cigarettes ou du pain, les autres n'auront qu'à doubler ou à patienter. Il est éventuellement possible de mettre les feux de détresse pour faire joli...

5 - Les autres automobilistes tu insulteras
Peut être étendu à l'agression physique si affinités.

6 - Souvent tu klaxonneras
Le plus puissamment et le plus longuement possible. Ne pas hésiter à compléter avec le commandement précédent.

7 - A droite tu doubleras
A combiner autant que possible avec le commandement suivant.

8 - Les limitations de vitesse tu ignoreras
C'est bien connu, tu es un as du volant auquel la limitation n'a pas de raison de s'appliquer

9 - Le couloir des bus tu emprunteras
Bien se dire que cela permet de gagner du temps et que ceux qui ne le font pas sont des imbéciles. A combiner autant que possible avec le commandement précédent.

10 - En scooter le casque tu ne mettras pas
Il fait trop chaud et de toutes façons il n'y a pas grand chose à protéger.

Note : Toute ressemblance avec le comportement routier des habitants d’une ville ayant existé serait purement fortuite.

mercredi 3 juillet 2019

Surveillance de(s) masse(s), pour ou contre ?

Même si la réponse pourrait être évidente pour certains, mes lecteurs savent à présent que j'aime à regarder la réalité sous différents angles afin de prendre l'évidence par surprise.
Je ne ferai pas exception à la règle en discutant de cette question, à la fois particulièrement épineuse mais aussi terriblement d'actualité.

Ainsi lorsque l'on parle aujourd'hui du crédit social chinois récemment mis en place, tout le monde s'accorde pour dire d'une seule et béate voix : "C'est une honte".
Pourtant, en 2015, lorsque les gens apprennent grâce à Wikileaks que la chancelière allemande Angela Merkel, ses ministres et d'autres personnalités comme notre président de la République de l'époque, François Hollande, la protestation contre le système de surveillance global américain, Prism, est plus que mesurée.


Récemment, le Maire de Nice, Christian Estrosi, a décidé de tester la reconnaissance faciale sur les caméras de vidéosurveillance de la ville, que peu de personnes lui ont reproché d'avoir installé.
Plus au centre sur l'échiquier politique, le candidat à l'investiture des municipales de Paris pour 2020, Mounir Mahjoubi, propose quant à lui dans son programme de faire survoler les rues de la capitale par des drones à des fins de surveillance.

Alors, la surveillance de(s) masse(s), bien ou mal ?
Comme pour quasiment tous les sujets, rien n'est tout blanc ni tout noir :
La technologie et la puissance de traitement des informations par les ordinateurs modernes ont rendu capable l'analyse en temps réel des images et des conversations téléphoniques.
Ce n'est ni bien ni mal, c'est le progrès, aussi inéluctable que celui qui a permis le développement du génie génétique et l'avènement de ses incroyables possibilités.

Pourtant, la voix qui gronde dit sourdement : "C'est une atteinte à nos libertés !"
Cette "liberté chérie" "à la française" n'est pourtant aucunement menacée par une caméra, qu'elle soit posée en haut d'un feu rouge ou embarquée sur un drone, avec reconnaissance faciale ou pas :
Vous aurez toujours la liberté, la possibilité de faire du vélo dans le plus simple appareil sur les Champs-Élysées. Ce qui changera, c'est le temps au bout duquel vous serez arrêté par la police pour attentat à la pudeur.
Ce qui changera aussi, c'est le comportement incivil, voire anti-social, de certaines personnes dans l'espace public, au volant, à trottinette ou à pied, et ce grâce à l'aspect dissuasif de cette technologie.
Car rappelons-le, l'objectif de cette surveillance et de "pacifier" les relations entre les personnes dans l'espace public.
Ainsi, les lois de la République n'interdisent à personne de porter un niqab ou un casque de moto dans son appartement, mais elles le proscrivent dans l'espace public, "qui doit être vécu à visage découvert", pour le bien-être et la sécurité de tous.
Ce système n'a pas pour objectif d'installer des caméras chez tout le monde, mais simplement de surveiller l'espace public afin d'y éviter les comportements contrevenant à la loi et simplement au "bien vivre ensemble".
Peut-on alors dire que cette surveillance serait "néfaste" (à qui, à quoi ?), sous le prétexte fallacieux qu'elle serait "liberticide" (repenser à l'exemple du cycliste nudiste) ?

Mais qu'en est-il si cette surveillance est utilisée à de "mauvaises fins" ?
Il faudrait tout d'abord qualifier ce qui serait un "mauvais" usage de cette technologie (qui revient à se poser la question de ce qui est bien et de ce qui est mal) :
Un policier qui détourne son utilisation pour surveiller les allées et venues de sa femme qu'il soupçonne d'adultère, ou un état qui s'en sert pour empêcher des citoyens irrespectueux d'accéder à certains types de services ?
Qui serait le plus coupable ?
Qui demanderait aujourd'hui l'abandon du fichage S et de la surveillance des personnes présentant un danger potentiel pour notre nation et ses citoyens ?
Vous, qui êtes opposé à cette surveillance de(s) masse(s), au nom de cette "liberté" ?
Pas moi.

mardi 2 juillet 2019

Les trois placards

Cela pourrait être le titre d'une nouvelle, mais il n'en est rien...
Je compte en fait lister ici les différents types de placards que j'ai identifiés dans la Fonction Publique. Mais peut-être en existe t-il d'autres auxquels je n'aurais pas pensé...

Le type I est celui auquel les gens pensent tout de suite : une planque où personne ne vous dérange et où vous pouvez faire tout ce que vous voulez toute la journée tout en étant payé.
C'est le destin des fonctionnaires qui refusent de faire ce qu'on leur demande, qui le font mal ou dont on n'a plus besoin.
Plutôt que d'engager une procédure et pour faire plaisir au syndicats, la hiérarchie se débrouille pour créer un poste fantôme, de vaguemestre catégorie C à "chargé de mission", poste protéiforme à souhait, catégorie A et au-delà.
Le fonctionnaire se satisfait généralement de la situation, occupant ses journées à diverses activités, parfois même rémunérées, sans être déclaré bien sûr...
Ce n'est pas grave, c'est le contribuable qui paye.

Le type II, moins plaisant pour le fonctionnaire, arrive lorsque votre poste est convoité par la (nouvelle) hiérarchie pour le confier à un "ami", à une "connaissance", ou à un ex-colistier.
Au mépris des compétences de la personne sur le poste (de son ancien titulaire autant que du nouveau), on place l'heureux élu sur le poste du malchanceux, que l'on nomme sur un poste vacant ou sur un placard spécialement créé pour l'occasion (voir type I).
L'inertie et la lenteur de l'administration permettront d'absorber les problèmes générés par cette manœuvre.
Le fonctionnaire "démis de ses fonctions" vit alors rarement bien cette "promotion".
Mais il n'a pas d'autre choix que de se taire au nom de l'"adaptabilité" des agents publics et du devoir de réserve, qui décidément ont été fort bien conçus...

Le type III est quant à lui réservé aux personnels qui posent problème, d'une façon où d'une autre, et dont la collectivité aimerait bien se défaire - chose qu'elle ne peut pas "grâce" au statut de la Fonction Publique.
On crée donc pour ces personnes le même type de placard qu'en I et II, mais en prenant bien soin d'isoler au maximum ledit fonctionnaire (physiquement et moralement), en espérant ainsi le contraindre au départ.
C'est d'ailleurs le conseil que m'a donné mon Directeur de l'époque alors que je venais d'être nommé "Chargé d'Etudes" sous sa responsabilité (ça change de Chargé de Mission...).
Ces personnels finissent généralement par faire une dépression, enfermés entre le vide d'un poste virtuel, mais garanti à vie, et la difficulté d'abandonner ce même avantage inouï que n'ont pas les employés du privé.
D'autres, beaucoup plus rares, décident de se rebeller contre cette forme de harcèlement moral et exigent de la justice un travail en adéquation avec leurs compétences, puisque c'est ce que leur employeur leur doit en échange de leur salaire.
C'est ce que je fis. #JeSuisAuPlacard