Dans mon article Pourquoi l'Homme ? , je compare l'évolution de l'Homme sur Terre à celle du cancer dans son hôte, et je ne suis pas le seul à le penser.
La comparaison première est le développement sans limite que l'on peut constater dans les chiffres de l'évolution de la population mondiale. Nous sommes plus de 7 milliards aujourd'hui, et plus de 9 milliards à l'horizon 2050. Restera t-il à ce rythme assez de ressources naturelles pour nourrir et donner à boire à toute la population ?
Ou reposons plutôt la question : à ce rythme, quand n'y aura t-il plus assez de ressources naturelles pour nourrir la population ?
Car sans une dictature capable d'imposer une restriction des naissances au niveau mondial, nous allons tout bêtement vers la catastrophe : parmi les pays les plus "producteurs", on trouve l'Inde, la Chine, le Brésil, le Pakistan, le Nigeria, ou encore le Bangladesh, ou la pauvreté et le manque d'éducation ne fait qu'amplifier ce phénomène. La religion (qui certes provoque aussi des guerres qui permettent d'éliminer un certain nombre de personnes), prône aussi le développement sans limite, qui comme celui de la croissance, ne peut conduire qu'à un échec cuisant...
Alors nous nous retrouvons avec des milliers de migrants qui fuient ces pays pour essayer de profiter du nirvana que constitue pour eux la vie (ou ne serait-ce que la survie) dans un pays évolué comme l'Europe.
Ce tableau n'est pas très joyeux, et malheureusement il n'y a pas de solution miracle à ce problème de taille. Il faudrait rendre ces populations plus censées en les aidant et en leur faisant comprendre notamment qu'il faut pratiquer la contraception quoi qu'en dise leur religion, ce qui semble rien qu'à le dire une tâche insurmontable...
Je m'appelle Input Output, mais tout le monde m'appelle IO (prononcer à l'américaine "aye-oh"). Bienvenue sur ce blog, dans lequel j'évoque mes réflexions et (donc forcément aussi) mes points de vue sur le monde qui nous entoure, dans la limite des mes connaissances et de mes capacités. Si vous ne partagiez pas certains de mes avis, n'hésitez pas à laisser le vôtre en commentaire, nous pourrons en débattre (tous) ensemble !
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